Et oui, les Anglais énervent : forts au foot, au rugby, rois de la pop et en plus toujours beaux gosses, voilà un pays qui réussit tout ce à quoi ils touchent. Et The Herbaliser ne déroge pas à la règle…
Difficile de classer un groupe qui mélange autant de styles et d’instruments différents. Cet album ne changera pas les bonnes vieilles habitudes, même si c’est un mix et non pas des compositions directes. Ainsi se mélangeront des ambiances hip-hop (majoritaires) so british underground, soul, funk, électro et jazz, sur des reprises de James Brown, Rjd2, des Jackson 5, des Roots et même des White Stripes.
Malgré tous ses bons aspects, l’album est trop lourd. Une écoute en entier (70 minutes tout de même) lasse vraiment, et on se dit qu’un quart de moins aurait été parfait, surtout que certains morceaux ne nous auraient pas manqués !
Mais bon, l’ambiance british de cet album envoûtera même les plus réticents à ce genre d’OVNI musicaux, et The Herbaliser confirme qu’il est un des groupes leaders de cette nouvelle vague anglaise. De plus le prix est plus que raisonnable (d’ailleurs, certains artistes plutôt que de râler contre le téléchargement pirate devraient peut être penser à baisser leurs tarifs prohibitifs), et le packaging très design avec sa boîte en métal.
Disponible sur Amazon.fr
dimanche, mars 19, 2006
samedi, mars 18, 2006
Côté ciné : « Snatch », le polar anglais à l’ancienne…
Si Brad Pitt est crédité au générique de ce film, on se dit que cela ne doit pas être trop mal. Et c’est même un petit bijou qui nous attend au tournant !
Pour apprécier ce film, il faut, comme tous les polars, ne pas le prendre au premier degré, et vu que c’est un polar anglais, accepter un humour froid et décapant. Une fois cela assimilé, le visionnage peut commencer. C’est l’histoire d’un diamant gros comme le poing que toute une bande de voyous, aux surnoms plus loufoques les uns que les autres, convoite…
Depuis « Arnaques, crimes et botanique », on sait que Guy Ritchie aime les histoires très tordues et difficiles à suivre. Mais on sait aussi qu’elle n’est qu'un prétexte pour dévoiler le caractère de ses personnages hors du commun, totalement improbables et tellement drôles !
C’est ainsi que l’on rencontrera des diamantaires juifs, des organisateurs de combat de boxe clandestin, des gitans irlandais, des Blacks petites frappes, un Ouzbek increvable et même des porcs bouffeurs d’humains !!!
Bref, la France avait Audiard, l’Angleterre a Guy Ritchie pour les dialogues incisifs et les répliques cultes ! Servi par une B.O.F. à couper le souffle, ce film est une perle d’humour, d’ambiance anglaise et de violence.
A déconseiller au moins de 12 ans. Disponible sur Amazon.fr
Pour apprécier ce film, il faut, comme tous les polars, ne pas le prendre au premier degré, et vu que c’est un polar anglais, accepter un humour froid et décapant. Une fois cela assimilé, le visionnage peut commencer. C’est l’histoire d’un diamant gros comme le poing que toute une bande de voyous, aux surnoms plus loufoques les uns que les autres, convoite…
Depuis « Arnaques, crimes et botanique », on sait que Guy Ritchie aime les histoires très tordues et difficiles à suivre. Mais on sait aussi qu’elle n’est qu'un prétexte pour dévoiler le caractère de ses personnages hors du commun, totalement improbables et tellement drôles !
C’est ainsi que l’on rencontrera des diamantaires juifs, des organisateurs de combat de boxe clandestin, des gitans irlandais, des Blacks petites frappes, un Ouzbek increvable et même des porcs bouffeurs d’humains !!!
Bref, la France avait Audiard, l’Angleterre a Guy Ritchie pour les dialogues incisifs et les répliques cultes ! Servi par une B.O.F. à couper le souffle, ce film est une perle d’humour, d’ambiance anglaise et de violence.
A déconseiller au moins de 12 ans. Disponible sur Amazon.fr
Inscription à :
Articles (Atom)